jeudi 16 février 2012

Une mineur béninoise habitant à pointe-noire battu cruellement par ces parents adoptifs

Le premier arrondissement Emery Patrice LUMUMBA de la ville de Pointe Noire est le fief des sujets Ouest Africains. Une mineur sujet Béninois est l’une de victimes au regard des violences faite aux filles, enregistré ces derniers temps dans la capitale économique du CONGO.


Venu en République du Congo, par voies inégales à l’âge de 6 ans;FATIMATA aurait été vendu par ces parents biologiques au Benin pour des raisons d’exercer des métiers informels pratiqués généralement par les sujets béninois habitants à Pointe Noire.

Dès son arrivée dans cette famille, elle était considérée, comme étant une des filles de sa famille d’accueil. Mais seulement voilà, que cette dernière sera tabassée cruellement par un des parents de son père adoptif pour avoir perdu une trousse comportant des bijoux ; qui auront été vendu à une autorité municipale.
Cette fois ci FATIMATA âgée de 11 ans sera le suspect dans ce foyer. D’où une punition lui sera infligée, pour des causes quelle ignore.

En effet, la petite FATIMATA étalée au sol comme un poisson à frire ; cette dernière a reçu pendant une demi journée de coups de bâtons des membres de cette famille. Dans la soirée FATIMATA est chassée de chez elle et devient une fille sans abri. Elle est accueillie par une seconde famille ; cette fois ci des sujets maliens ; qui cependant la soumet aux multiples corvées quotidiennes ; notamment la vente d’eau, jus, sky et bissap.

Ainsi, un jour en mi janvier, ce en ma qualité de responsable d’antenne du comptoir juridique junior ainsi que dans le cadre du volet d’assistance juridique aux filles victimes de violence à Pointe Noire ; j’ai rencontré cette fille la nommée FATIMATA avec sur sa tête une cuvette remplie des sachets d’eau à la hauteur de l’avenue de la République ex Révolution.

Très comblée d’émotion du fardeau que trimbale tout le jour cette jeune adolescente ; mon intention nette était de l’intercepter et la poser quelque question allant dans le sens de savoir premièrement qui était elle et si elle pouvait me vendre de l’eau.

Cette question pourrait paraître ridicule sous d’autres cieux ; mais c’était l’occasion pour tout indiquer au regard de mes recherches de savoir comment les mineurs subissent des violences quelconques.

Quelle sera donc la vie de FATIMATA. Qui bientôt sera soumise a une autre réalité celle d’être prise de panique de la puberté. Question est donc de savoir comment la communauté africaine peut s’employer à éradiquer le phénomène de vente des mineurs, ainsi que du travail des enfants. Qui d’ailleurs engendre les cas de violence tant physique que psychologique dans la société.


Sévéra MPASSI