jeudi 16 février 2012

Une mineur béninoise habitant à pointe-noire battu cruellement par ces parents adoptifs

Le premier arrondissement Emery Patrice LUMUMBA de la ville de Pointe Noire est le fief des sujets Ouest Africains. Une mineur sujet Béninois est l’une de victimes au regard des violences faite aux filles, enregistré ces derniers temps dans la capitale économique du CONGO.


Venu en République du Congo, par voies inégales à l’âge de 6 ans;FATIMATA aurait été vendu par ces parents biologiques au Benin pour des raisons d’exercer des métiers informels pratiqués généralement par les sujets béninois habitants à Pointe Noire.

Dès son arrivée dans cette famille, elle était considérée, comme étant une des filles de sa famille d’accueil. Mais seulement voilà, que cette dernière sera tabassée cruellement par un des parents de son père adoptif pour avoir perdu une trousse comportant des bijoux ; qui auront été vendu à une autorité municipale.
Cette fois ci FATIMATA âgée de 11 ans sera le suspect dans ce foyer. D’où une punition lui sera infligée, pour des causes quelle ignore.

En effet, la petite FATIMATA étalée au sol comme un poisson à frire ; cette dernière a reçu pendant une demi journée de coups de bâtons des membres de cette famille. Dans la soirée FATIMATA est chassée de chez elle et devient une fille sans abri. Elle est accueillie par une seconde famille ; cette fois ci des sujets maliens ; qui cependant la soumet aux multiples corvées quotidiennes ; notamment la vente d’eau, jus, sky et bissap.

Ainsi, un jour en mi janvier, ce en ma qualité de responsable d’antenne du comptoir juridique junior ainsi que dans le cadre du volet d’assistance juridique aux filles victimes de violence à Pointe Noire ; j’ai rencontré cette fille la nommée FATIMATA avec sur sa tête une cuvette remplie des sachets d’eau à la hauteur de l’avenue de la République ex Révolution.

Très comblée d’émotion du fardeau que trimbale tout le jour cette jeune adolescente ; mon intention nette était de l’intercepter et la poser quelque question allant dans le sens de savoir premièrement qui était elle et si elle pouvait me vendre de l’eau.

Cette question pourrait paraître ridicule sous d’autres cieux ; mais c’était l’occasion pour tout indiquer au regard de mes recherches de savoir comment les mineurs subissent des violences quelconques.

Quelle sera donc la vie de FATIMATA. Qui bientôt sera soumise a une autre réalité celle d’être prise de panique de la puberté. Question est donc de savoir comment la communauté africaine peut s’employer à éradiquer le phénomène de vente des mineurs, ainsi que du travail des enfants. Qui d’ailleurs engendre les cas de violence tant physique que psychologique dans la société.


Sévéra MPASSI

mercredi 13 juillet 2011

Violence Conjujale Conduisant à un Homicile Volontaire

Le jeune Macoy, âgé de 26 ans est un combattant de première classe recruté dans les rangs de l’Armée Nationale Congolaise sans niveau d’instruction.

Après avoir été victime d’un accident de circulation par véhicule qui l’avait heurté selon ses propres dires ; le voilà exempt de tout exercice physique militaire : soit d’entrainement, soit de formation, soit dans les champs des tirs.

Macoy a trouvé là l’occasion de gagner sans effort, et à chaque fin du mois le salaire de 37.000FCFA, à cause de son pied droit qui a connu une infirmité sans précédent.

Ses proches parents et amis disent que Macoy ne dit pas la vérité, il trompe l’Etat et toute personne étrangère. Sinon, c’est un braqueur, et en voulant devenir plus malin et gangster que les autres, il avait été instrumentalisé par ses propres amis militaires aussi braqueurs comme lui.

Ses amis de quartier n’acceptent pas trop son nouveau statut social qui intimide la population, par son accoutrement (tenue militaire, les armes blanches et autres).

Chaque fois qu’il perçoit son salaire, il a l’habitude de se faire commerçant militaire au chemin de fer où il transporte à son compte personnel une colonne de plus de dix (10) femmes commerçantes comme lui, ou, voyageuses simples moyennant la moitié du billet normal au CFCO ou une partie de sa marchandise ou encore, à défaut, exhibe les corps pour les femmes d’esprit faible.

Une nuit de Novembre 2010, dans un état d’ébriété, après avoir battu sa femme enceinte de 7 mois, Macoy l’abandonne un matin et s’en va à LOUTETE sans rien dire à personne. C’est à son retour qu’il est informé du décès de sa femme. Et faisant semblant de ne rien connaître sur son décès, accuse sa belle-famille de sorcellerie et de sciences occultes.
Ce fut un vendredi de novembre 2010 à 5h30 minutes que Macoy habillé de sa tenue militaire, prend son arme, met au dos son sac pour se rendre à la gare centrale de Pointe-Noire, afin, d’emprunter un terrain qui va à Brazzaville. Pendant que, derrière lui, certaines personnes l’on vu quitter sa maison et n’ont plus jamais entendu la voix d’une femme qui criait toute la nuit à son domicile.
En route dans le train pour Brazzaville Macoy descend à LOUTETE et passe trois (3) nuits pour faire ses commandes des sacs de foufou qu’il cherche à acheter afin de les revendre à Pointe-Noire.

Ses voisines (2 jeunes femmes) du quartier à Pointe-Noire informées par Honorine, s’organisent, notamment ses premières concubines du quartier. Elles arrivent chez Macoy dans l’intention de rendre visite à leur voisine, et constatent que cette dernière n’a plus de parole et, baigne dans le sang. Elles ont pris leur courage d’amener la nouvelle auprès de la belle-mère à Macoy.
Sa belle-mère arrive au domicile de Macoy, sans attendre, récupère sa fille et l’amène à l’hôpital A.Cisé où elle a rendu l’âme 4 heures plutard.
Macoy revient à Pointe-Noire pour vendre ses sacs de foufou. Sur ce, on lui annonce la mauvaise nouvelle « la mort de sa femme le jour de son voyage à LOUTETE ». Macoy se met en colère comme quoi, il a affaire avec une mauvaise famille qui vient de sacrifier sa femme dans une maison de sciences occultes, car, il avait laissé sa femme bien portante.

Macoy a utilisé toutes ses forces et techniques militaires pour étrangler cette jeune dame de 23 ans qui était alors son épouse ; témoigne Madame Honorine, voisine du quartier et originaire du même village que Macoy.

Sa belle-mère arrive au domicile de Macoy, sans attendre, récupère sa fille et l’amène à l’hôpital A.Cisé où elle a rendu l’âme 4 heures plutard.
Macoy revient à Pointe-Noire pour vendre ses sacs de foufou. Sur ce, on lui annonce la mauvaise nouvelle « la mort de sa femme le jour de son voyage à LOUTETE ». Macoy se met en colère comme quoi, il a affaire avec une mauvaise famille qui vient de sacrifier sa femme dans une maison de sciences occultes, car, il avait laissé sa femme bien portante.

Cet événement se passe à Bissongo, un quartier périphérique de Pointe-Noire au bord de la rivière qui sépare ce quartier et l’autre quartier dénommé VOUNGOU au terminus, vers le bar « banque de vie ». Le domicile de Macoy est très mal loti et se trouve isolé dans l’herbe qui pousse tout autour.

Macoy ouvre une procédure judiciaire d’enquête à la police où il évoque la situation d’insécurité autour de lui, car il est accusé d’assassin par sa belle-famille. Sur ce, il lui faut une garde. Sa requête étant accordée par le Commissaire de Police. A ce titre, Macoy n’est jamais arrivé au lieu des obsèques de sa femme. Il ne s’est jamais rendu à la police pour prétendre avoir les éléments de la force publique lui assurant sa sécurité, par le suite, il décline alors toutes les responsabilités pour les funérailles vis-à-vis de son épouse, donc de sa belle-famille.

Le Commissaire de police, n’ayant pas eu l’occasion d’écouter les parties en conflit, ni Macoy, ni son représentant ne s’est plus jamais rendu à la police. Cependant après les obsèques, le commissaire à décidé d’instruire le dossier devant le barreau de Pointe-Noire pour homicide volontaire de la part de Macoy.

jeudi 11 novembre 2010

Violences Sexuelle Faites aux Filles à l'Ecole

Mademoiselle Alice est élève dans un collège de Pointe-Noire où elle fréquente depuis le cycle primaire. Cette année scolaire 2009-2010 est candidate au BEPC. Elle est comme tous ses collègeus déterminée à accrocher ce diplôme à 16 ans afin d'envisager poursuivre ses études avec plus de sérénité et de chances. Mlaheureusement, l'environnement où elle évoulue de depuis l'AN dernier, des enseignants qui violentent les élèves en utilisant des méthodes adaptées pour obtenir un rapport sexuel obligé. Son professeur de Mathématiques a des responsabilités dans son école, il est le Coordonnateur pédagogique, autrement dit, Directeur de l'école. le promoteur de l'école est aussi enseignant au CM2, mais ne peut aussurer les tâches qui sont dévolues à sont titre, il a donc la mise toute sa confiance à son Coordonnateur, l'homme d'expérience capable de préparer les dossiers des élèves aux examens et de gérer au quotidien toutes les situtations qui surviennent à l'école.

Monsieur G est pour lui l'homme idoine car il connaît tout le "système". Alice qui appartient à une famille en pauvre, sa mère avait divorcée avec son père depuis plus de 3 ans, pour elle, le professeur de Mathématiques qui porte une attentioin particulière sur ses études, est un véritable protecteur et conducteur d'études. Il lui donne de l'argent régulièrement pour son petit déjeuner à l'école.

Toutes les filles l'appellent ''Tonton G'' conscient de l'impression de la confiance qu'il jouit à l'égard des élèves, "Tonton G" décide d'animer les séances de travaux dirigés obligatoires. Les travaux dirigés sont payants. Ce qui lui permet d'avoir régilièrement une petite bourse avec laquelle il satisfait ses besoins souvent grotesques: distribuer quelques fasicules aux filles pour les séduire ... Toute l'école est presque informée de pratiques de Monsieur G le Directeur (promoteur de l'école) ne voit aucun inconvienient pour tout ce qui'il apprend ou observe. Il est un véritable complice.

Monsieur G est toujours et souvent remarqué en compagnie d'Alice, même à l'école pendant les heures de permanence. Personne ne se doute plus de rien. Elle est devenue une sorte de maîtresse. D'ailleurs la femme de Monsieur G, qui effectue souvent des descentes à l'école, se plaint du comportement qui n'assure plus ses responsabilités de père correctement. Le couple vit des tensions qui pourraient amener la séparation. Le professeur affirme aussi, d'être déçu par sa femme, Alice a sans doute toutes les informations.

Monsieur G se déambule avec Alice dans tous les hôtels situés mon loin de l'école. Un jour, ils ont été vus par des élèves qui ont rapporté les faits à l'école. Le professeur a minimisé tout celà, leur idylle s'est poursuivre sans interpellations, de même, les autres copines du professeur, élèves dans la même école avec Alice, n'ont jamais renoncé à leur amitié avec Monsieur G. Alice n'est plus seulement élève, elle assure parfois les tâches domestiques de dégrade progressivement jusqu'au jour où elle est admise dans un hôpital. Elle a subi une intervenption ''IVG'' volontaire de grossesse organisée par le professeur, sans doute avec la complicité de sa mère. le père d'Alice a été informé par une collègue de sa fille qui, malgère était son amie ce dernier menent l'enquête, met la main sur l'amant de sa fille. Il se présente à l'école et procède à un véritable interrogatoire à l'endroit du directeur. Ce dernier manifeste tout simplement son ignorance des faits pour tenter de le protèger.

Une querelle byzantine s'ensuit avec la direction de l'école à qui, il accuse d'être responsable des violences subies par sa fille. Connaissant par la suite la Clinique Juridique , c'est un projet du Comptoir juridique Junior, qui assure l'assistance juridique gratuite, il a été accompagné pour la rédaction de la plainte. La Clinique Juridique lui donne toutes les informations essentielles, les textes, conventions et déclarations qui protégent les droits de l'Homme et de l'Enfants.

Monsieur G avait été condamné solidairement avec le Directeur de l'école puisque l'enquête avait demontré qu'il en était bien informé des atteintes aux droits des filles perpétrées par Monsieur G.

Alice s'étant présentée à l'examen, n'a pas satisfaite. Elle s'était mal préparée et l'IVG avait provoqué des maux qui l'ont affaiblie et demotivée.

Ensemble, luttons contre les violences sexuelles faites à l'école en informant les élèves (et la communauté éducative) sur leurs Droits afin de dénoncer les violations dont elles pourraient être victimes.

SEVERA MPASSI

mercredi 9 décembre 2009

Violences contre une femmme mariée

Nicoletta est une femme congolaise âgée de 38 ans, mère de cinq (05) enfants issus de deux pères. C’est au cours des enquêtes dans les promenades dans le quartier kouikou de la ville Pointe-Noire Congo – Brazzaville, que je viens de rencontrer, ce lundi 06 décembre 2009. Dame Nicoletta qui est l’amie de ma cousine Geneviève, une de ses collègues de l’école travaillant dans un magasin de la ville. Dame la conversation que je surprends, elle était en train de solliciter un conseil et une orientation de la part de son amie. C’est sur ces entre faites que je suis amené à l’écouter d’abord sur l’invitation de son amie Geneviève qui connaît mon métier d’actrice sociale. Comme rassurée, dame Nicoletta retrouve un air calme et lucide et décide de reprendre la présentation de son problème.

Elle affirme, qu’elle a fait connaissance avec Mr Rufin après son divorce avec le père de ses deux premières filles qui l’avait abandonné quand il a trouvé une jeune fille en campagne où il travaillait. Mr Rufin, apprenti un garagiste qui était diéséliste dans une grande société exploitant le bois. Il n’avait pas de salaire en ce temps là. C’était juste une petite prime de 8.000FCFA qu’il recevait et qui devait être artilisée pour satisfaire les besoins du couple. Les parents de dame Nicoletta s’étaient opposés à cette union qui, selon eux était loin de constituer une solution au problème de leur fille.

Dame Nicoletta n’a jamais suivi les conseils donnés par ses parents. Ils ont fini par ailleurs avoir un enfant. Et à la fin de sa formation, Mr Rufin a obtenu un empli dans une société qui exploitant le bois. Ils sont donc vécus dans les sites de ladite société en brousse. Tout semblait bien marché jusqu’ici. Le couple a eu une autre enfant et le père qui a connu une traversée du désert, un chômage causé par licenciement abusif s’est retrouvé à pointe-noire. Il s’est fait embauché dans une société de la place en qualité de mécanicien. Dans ladite société évolue son cousin qui est devenu un homme d’affaires évoluant dans l’hôtellerie.

Celui-ci connaissant les qualités techniques et professionnelles de Mr Rufin lui accorde une confiance et lui remet de temps en temps des véhicules des occasions d’Europe qu’ils dépannent régulièrement. Emporté par l’ouragan des passions, Mr Rufin multiplie les maîtresses, les rencontres dans les hôtels de la place. Il enceinte certaines de ses maîtresses et recueillent les enfants qu’il entretient de face à ce déchaînement de l’homme, la femme n’a pas la parole.

Elle accepte les enfants que lui apporte son marie sans tergiverser. Mais, elle se voit interdite de visiter un parent même de son mari. Lorsqu’elle le fait sans consentement de son mari, elle est battue et injuriée copieusement. Les cérémonies qui rassemblent les parents de son mari, celui-ci malgré l’invitation faite au couple se présente souvent seul. Reproché par les parents, il affirme souvent que dame est malade, mon épouse n’est pas informée, ma femme arrive et souvent cette attente se solde par une absence de celle-ci. Elle n’a pas le droit de communiquer librement au téléphone. Ses interlocuteurs doivent être connus de son mari. Les sujets de conversation doivent donner lieu à une explication exhaustive et minutieuse.

Maintenant, le comportement de son mari devient alarmiste, le dessouchement régulièrement et, il passe ses nuits avec les maîtresses dans les hôtels de son cousin où l’accès est libre pour lui puisqu’il est devenu un collaborateur du patron. Il assure le transport des équipements, de l’eau qui doivent être utilisés à l’hôtel. Les amies de dame Nicoletta soucieuses et compatissantes des mauvais traitements, des humiliations et de la trahison dont elle est victime, voyant ce que fait Mr Rufin, ont attiré son attention. Elles lui ont dit que son mari change des femmes presque tous les jours et passe ses après midi ou ses jours de week-end dans les hôtels. Consciente des menaces que fait peser au tel comportement pour la sécurité du couple, elle redoute chaque jour le prie. Toutefois, face à l’absence de garanties et de chances de trouver mieux ailleurs, amis aussi la peur de laisser les enfants aux mains d’une femme méchante, elle supporte encore ses peines tout en sollicitent des interventions des personnes sages. Elle vit dans la peur et les frustrations. Le mari ne lui dit rien après avoir découché le dialogue, les mots les paroles rasseurontes sont rares dans le couple. Elle est en outre, freinée par certaines réflexions personnelles et les réactions des parents. Mr Rufin EST très jaloux vis à vis de sa femme. Il aime assister ceux qui sont dans le besoin ; les malades, les affarués, les voyageurs, les licenciés des enfants … c’est donc ce côté humaniste qui compense au attendue sa méchanceté. Dame Nicoletta a reçu les instructions de ses parents de persévérer dans l’acceptation de cette situation.

Aux lecteurs, aux internautes, nus avons dit à dame Nicoletta que sa position était sujette à un danger, pour lequel elle devrait prendre conscience être infectée par le VIH/SIDA et peut être les infections sexuellement transmissibles. Elle devait aussi pousser le mari à faire le dépistage volontaire régulièrement. Plus, elle ne devait pas surtout perdre de vue que l’infidélité dans le couple est une cause du divorce acceptable.

Sévéra MPASSI

lundi 7 décembre 2009

Personne infectée par le VIH/SIDA

Salut !

Je suis une actrice et éducatrice sociale qui vient de rencontrer un cas d’espèce qui devrait inciter les acteurs de la lutte contre le VIH/SIDA à redoubler plus d’efforts dans la sensibilisation des publics en danger et vulnérables.

C’est à Pointe-Noire, la ville économique du Congo – Brazzaville où au cours de ce mois de novembre, que je viens de faire connaissance de Demoiselle Horty, âgée de 25 ans vivant à Ngoyo qui s’est confiée à moi.

Qu’elle avait divorcé avec son premier mari à la suite des crises de folie qui lui ont été causées par méchanceté humaine. Ayant coiffé sainte cathérine (25 ans aujourd’hui) l’attente d’un mari devenant trop ennuyeuse puisque les chances sont aléatoires. Elle a fait la connaissance d’un homme mûr, Mr Anthonin à Pointe-Noire, travaillant dans une scierie, veuf depuis plusieurs années. Ce Mr a une vie faite des hauts et des bas et surtout poursuivi par des forces maléfiques, est devenu un adepte inconditionnel du christianisme.

Il a réussi très vite à gagner la confiance de sa fiancée qui ne se doutait de rien, depuis plus d’an. Demoiselle horty rassurée n’a pas attendu la dot pour intégrer le foyer de Mr Anthonin. Après plusieurs mois de concubinage, Mr Anthonin a commencé à faire des fièvres et la peau laissait apparaître des signes cliniques et des maladies inquiétantes, puisque souvent liées ou annonciatrices de l’infection du VIH. Après avoir des soins dans les dispensaires, sans suite favorable, Mr Anthonin s’est résolu à consulter un centre de dépistage, le centre lui a remis Les résultats de ses examens qui se sont révélés positifs. Mr Anthonin a gardé un moral quelque rassurant il a réussi à échafauder une théorie qui empêchait sa financée à s’affoler.

Celle –ci est même retombée dans ses crises de folie soignée, elle a retrouvé sa santé. Psychologique, mais progressivement, elle a été au prise avec des fièvres brûlantes et des crises de folie, conduit à l’hôpital, les examens ont donné un résultat positif. Elle est entrain de suivre les soins au centre de traitement ambulatoire. Elle oscille désormais entre la volonté de rester dans son concubinage et celle de quitter ledit ménage en portant plainte contre son ami qui lui a caché la vérité.

Nous lui avons demandé de mûrir la question, avant de se lancer dans une de marche quelconque.

Aux lectures, alors disons que ces cas d’espèce sont fréquents dans nos sociétés surtout africaines. Au delà des plaintes qui peuvent être réfléchir pour prendre des lois qui font obligation à ceux qui sont porteurs sains à pouvoir révéler cela et aussi, c’est peut être, une solution idéale, d’exiger d’abord un dépistage commun avant de passer aux actes conjugaux.

Sévéra MPASSI

Violences conjujale au Congo -Brazzaville

Le centre d’écoute des femmes et enfants victimes des violences de la clinique juridique du comptoir juridique junior à Pointe-Noire au Congo – Brazzaville avait accueilli et écouté demoiselle Béatrice, de nationalité congolaise, âgée de 28 ans, demeurant au quartier Fouks.

Demoiselle Béatrice a vécu en concubinage depuis 2006 avec Jérôme. De ce concubinage est issu un enfant de deux ans de sexe féminin nommée Sarah. Ce couple a d’abord vécu les bons moments. Jérôme, un chômeur s’était appuyé sur les revenus générés par les activités commerciales des Béatrice. Elle assurait presque l’essentiel des besoins du ménage.

Engagé comme veilleur de nuit, quatre ans après dans une société de la place ; celui ci commencé a manifesté une certaine incompatibilité vis à vis de sa fiancé. Les violences verbales étaient devenues légion, les jours de repos n’existaient plus. Les fréquentations devenaient douteuses puisqu’il était devenu l’ami des personnes peu recommandables, des marginaux et des drogués. La maison connaissait désormais des querelles régulières et byzantines.

Mr Jérôme a commencé à abandonner sa fiancée et sa fillette parfois pendant une semaine. Trouvant que cette machination semblait être inopérante, Mr Jérôme a préparé un assassinat crapuleux. Il a acheté deux litres d’essence qu’il a amenées dans leur foyer. Il a chargé les réservoirs de deux lampes tempêtes qui assurent l’éclairage du foyer, la quantité restée et les deux lampes ont été placées à leur emplacement habituel.

Après avoir tendu ce piège, Mr Jérôme est allé loin de leur foyer, attendant bien entendu l’heure ou l’instant fatidique.

Demoiselle Béatrice portant sa fillette au dos constate la pénombre dans la maison et décide d’allumer les lampes. Pendant qu’elle l’une desdites lampes, celle-ci produit une sorte d’explosion qui l’aveugle et brûle profondément. Elle réussit à sortir des flammes avec sa fillette, conduites à l’hôpital par les voisins qui ont accouru, lamentées par les cris de détresse et les flammes qui dévoraient la maison, la fillette a rendu l’âme deux heures plus tard.

Demoiselle Béatrice a été admise à l’hôpital. Le médecin a informé les parents qu’elles était victime d’un feu de troisième degré. Ceci a nécessité des soins intensifs et assez longs.

Informée de l’existence du centre d’écoute de la clinique juridique de Pointe-Noire du Congo Brazzaville, elle s’est rapprochée avec ses parents où elle a été accueillie, écoutée et orientée.

La clinique juridique l’a aidé à rédiger une plainte pour homicide volontaire et coups et blessures volontaires.


Sévéra MPASSI

mercredi 2 décembre 2009

Femmes et violences conjugales au Congo Brazzaville

La célébration de la Journée Internationale pour l’élimination de la violence faite à l’égard des femmes a été marquée par une causerie éducative une restitution de l’Atelier stratégique nationale pour combattre la violence à l’égard des femmes et filles au Congo Brazzaville.

Cette cérémonie a été organisée le 25 novembre 2009, par l’association ARIPS en partenariat avec le PARF-D’ACP dans la salle de mariage de l’arrondissement I Emery Patrice LUMUMBA de Pointe-Noire, avec une participation de cents (100) personnes dont 87 femmes et 13 hommes.

Les violences au domicile, sujet abordé par Mme Régine GOMA présidente et coordonnatrice de l’ARIPS.

ARIPS est une Agence Régionale d’Information et de Prévention du SIDA. cette association s'occupe de la lutte contre le VIH/SIDA des développements communautaires, et des droits de l'homme.

Les invités à cette causerie éducative étaient les responsables et les membres des associations et organisations de la société civile, secteurs regroupant le maximum des femmes à savoir :

les associations de lutte contre la pauvreté ;
les groupements des femmes dynamiques
les femmes responsables des secteurs des marchés ;
les représentants des ONG de développement
les agents des directions de la promotion et de l’intégration de la femme au
développement ;
le représentant du Maire de l’arrondissement I Emery Patrice LUMUMBA et le Député de la circonscription qui ont même tenu des allocutions visant à mettre fin à toutes sortes de violence.

Evoquant les différentes violences faites au domicile à l’égard des femmes, Mme Régine GOMA a classifié et développé les trois (3) sortes des violences :

1 – les violences verbales ;
2 - les violences visuelles ;
3 – les violences corporelles.

Le manque de l’art de communication expose aussi la femme à des violences au côté des agresseurs a-t-elle insisté. Ce qui est l’une des grandes faiblesses constatées chez la femme.

Plusieurs témoignages ont été faits par les femmes ; car les faits les plus courants portent sur :

les menaces faites par l’homme en refusant l’argent de l’ alimentation à sa
femme ;
la femme dans un foyer où l’homme est toujours en état d’ébriété et
sollicitant des rapports sexuelles ;
inceste vécu dans le foyer entre l’enfant et son père ;
menace d’un parent qui entretient trois (3) maîtresses et menaçant de congédier son épouse ;
- un homme qui depuis 20 ans n’a jamais eu un avancement salarial et préfère avoir 12 enfants, sans changer le montant d’argent réservé à l’alimentation ;
- la femme frustrée et blessée moralement parce que le marie a eu deux enfants hors ménage ;

les participants ont tenu de savoir le type et le nombre des violences existant à savoir :
- la parole
- les injures
- violences conjugales
- physique
- verbale
- psychologique
- économique.

Les participants ont tenu à connaître s’il y’avait une loi sur les violences faites à l’égard des femmes. Le sujet a emballé les participants. Les uns ont affirmé que la loi n’existant pas et les autres confirmant l’existence de celle-ci.
La représentante de l’association des femmes juristes a affirmé l’existence de ladite loi.
Cette question a divisé les participants en deux groupes. Au sortir de la cérémonie aucune réponse concertée n’a été trouvée.

J’aimerais dire aux lecteurs qu’au niveau interne (Congo Brazzaville) il n’y a aucune loi portant sur les violences faites à l’égard des femmes.

Le Congo, mon pays, par contre, a ratifié une convention dans le cadre des Nations Unies, portant sur les violences faites à l’égard des femmes. Cette convention a été ratifiée par plusieurs Etats membres des Nations Unies.

La montée de la prostitution à Pointe-Noire, recrudescence de la violences à l’égard des jeunes filles et des femmes.

Les femmes mariées et jeunes filles ont toujours porté plainte contre leurs agresseurs (maris, un ami, un inconnu) les cas les plus courants, l’agresseurs des couples.


Sévéra MPASSI